Le blog de Saint-Songe

La méditation contemplative réfléchit toujours le... "troisième œil"

Fin de parcours... de l'Humanité ainsi que titre d'un William. R. Burnett ? Car comment se fait-il qu'on ait rencontré ici-bas que haine et jalousie, consommation à outrance, et non le simple "amour" ?
- Ha mais, tout le monde cherche l'amour toute sa vie, et, l'ayant rencontré soudain, oups-là, le voilà ce tout-monde qui jusque là n'avait exploré que la séduction (à s'apprendre à se con-n'être sans concession, lâchant la bride des émotions), et voilà que tout le monde le recherche de nouveau, l' Amour, et visiblement, au vu des conflits, on en est incapable de s'aimer d'un seul et même amour à longueur d'année(s) et de triste hypocrite "plus jamais ça" !
- Aaaah... Chapeau bas, monsieur .... le chauve...
- D'un souffle, chassez l'ombre, et voilà...
- A en devenir rouge, frôlant l'apoplexie, à ... souffler dans nos...cors (corps) ?
- En sortira-t-on un jour, de ce corps à quête d'amour ? ...Jamais, je le crains. Au grand jamais. Jamais même corps en fait mauvaise mine, à ce qu'on dit, le surlendemain de chaque excès, non ?
- Je suis .... alcoolivre, monsieur, je l'avoue sans fard !
- Et tout hariboïque, à deux paquets de mauvais sucre pour chasser votre spleen baudelairien, n'est-ce pas ?
- CA? J'ai arrêté...
- Oh très bien un self-portrait à la Viviane, votre santé n'est plus chancelante...
- Le plus souvent, je ne vais plus soigner mon cœur à la recherche de l'amour, et qui est arrivé, en voisine ?
- La vitalité renversante ?
- Oui m'sieur... Comme d'une "vérité toute nue", elle était enfin là.
- Et ?..
- Papillons dans le ventre...Aussi léger qu'un shooté, j'en ai perdu mes maux/mots, ne sut quoi dire à qui m'interrogea de savoir (ça voir) comment j'allais... sans ces produits addictifs, journée sans tabac à l'infini qui plus est...
- Quel homme étonnant vous faîtes...Et beau avec ça... rendant service gratuit à qui fait appel à vos dextérités, ai-je su...
- Oui. Sur la beauté, il y a à redire, l'automne de l'âge existe.
- Si peu, monsieur, si peu...Au sauna-jacuzzi, on se convainc sans déperdition de votre autre jambe, bien développée, en partie intégrante, hors des sentiers battus, entre bath et breath-work, respirant par le ventre, la roue tourne, tous les muscles au repos, sans les fameuses barres de chocolat pour ressembler à Rambo (rend beau) de Quartier Cosquer moulin vert, Kemper...
- L'arrière-goût de votre réflexion me sied... si vous n'êtes faux-ami.
- Ha, pourquoi refuser de jouer dans ma pièce ?
- Quelle pièce, ta-ta-tam, quel rôle, dès l'étoile du matin ?
- Seule prière adressée à mes souvenirs personnels comme à Dieu, ,nos demandes de consolation..;
- Revoici le mot...
- Lequel ?
- ...Amour.
- Est-ce un conte, une sorte de fable ?
- La.... vérité, toute nue.
- Eteignez le feu de votre pulsion, monsieur.
- Je suis irréprochable. On le sait de tout le quartier...
- Je vois, je vois, entrez dans mon sommeil profond, je dors, dans "la nuit matérielle"... J'ai demandé pardon.
- A qui ?
- A l'amour subtil. .. A en fermer les yeux, c'est tenter d'imaginer votre façon de rechercher l'appel sonore d'un déclic amoureux.
-

- Ooooh, monsieur ... le strasbourgeois ! Je ne suis pas le Père Noël.

 

 

 

Allaient-venaient les hirondelles ; notre époque à changé, que soupçonnons-nous d'elles, du sens de leurs actions à voler trop bas, captant l'énergie négatives de la terre d'Extrême-Orient et de celle de la Russie, toutes les mauvaises énergies de destruction des mauvais hommes (ah que les hommes sont bêtes à ne méditer les mouvements des animaux, des bêtes, des insectes, ni les zig et les zag des oiseaux, ils s'en seraient moins vindicatifs à en oublier les codes d'honneur des samouraïs, mon dieu que les hommes sont bê-ê-ê-tes à bêler leurs hallah-y's barre sans rien plus connaître de la différence entre Mohammad au sein de la Bible tout comme la présence de Jésus dans le Coran ! Et, de Mohammad, le premier émigré, combattre l'ennui dans le pillage divin, tant différent de faire l'effort sur eux quand, selon la raison saine, Jésus n'est qu'un être humain,  bien que prophète et "messager de dieu", aussi : fils de l'homme stipulant (dans Matthieu 24 ; 30-35 : "Immédiatement après ces jours de détresse, le soleil s'obscurcira, la lune perdra sa clarté, les étoiles tomberont du ciel, les puissances célestes seront ébranlées"... comme d'Israël, terre des miracles d'antan, bouleversées une fois de plus, dès le 7 octobre dernier ?.. - sans évoquer celles des territoires Ukrainiens "violées"/violentées par l'invasion russe, incursion-rapt...? "alors tous les peuples de la terre se lamenteront et ils verront le fils de l'homme venir sur les nuées du ciel avec beaucoup de puissance et de gloire." Hirondelles messagères qui les alarmeront, ces peuples en désinence et désuétude vocales : desinentia, ils finiront, c'est la boucle du bIG Bang qui rejoindra celle du Big Crunch... cause des Lois naturelles non - observées, ni de celles, en laps de temps de j'm'en foutisme, des réglements intérieurs... "Il enverra ses anges, rassemblés "(en nuée d'hirondelles et de colombes ?) " au son des trompettes éclatantes " (ou de canons, de drones kamikazes ?) "ses élus des quatre coins du monde, d'un bout à l'autre de l'univers"...La voix des hommes, tues, en désinence ; cessation d'une habitude ; dans le soleil, et dans les parcs, et j'ai dit, hier : l'orée du bois. Bruissements d'ailes d'hirondelles, pourquoi diable m'avez-vous alerté ? Et de quoi, pour bien moi-même comprendre, saisir, encore trop frais d'âge à l'esprit jeune, ouvert large aux idées poético-spirituelles quand ce monde du Commerce (des hommes lâches et couards, avide du toujours plus ?), quand ce sombre monde vénère l'obsolescence ?

Notre cœur-président des souffles a aussi son organe-premier ministre qui leS régule quand ceux-ci sont trop activement négatifs.

 

 

 

Par trop d'agitation l'étourdi s'annonce :
il porte à son présent un je-ne-sais quoi d'inélégant...
Sans doute porte-t-il à son côté l'objet de son énervement.
Comme un menton doublé de son gloussement de gorge rouge d'ire.
Mais qui veut-il médire, par son boucan d'injures ?

On ne change pas nos rêves par une décision politique d'une nouvelle élection !...Ça n'est pas un talk-show ni une télé-réalité, la Présidence de République... On existe néanmoins par un hectare d'un Jardin Secret dont on ferme à tous et toutes les portes, même à son propre Amour... On devient alors pur, pour ne l'avoir jamais été... en société... qui va mal, même très mal..., elle est donc en mal-être elle-même, comment allez mieux tout seul , ou deux : mon chéri, je te présente mon chéri (dit une femme aimant tous les hommes, dirait-on..., quand deux "clients" sont à venir...dans son magasin..., ben tiens !)

boucan d'injures ?

 

 

 

Ce n'est pas parce qu'elle est rarement jouée que la beauté de cette "œuvre" - musicale - n'existe pas, ainsi dans l'ombre d'aucune lecture que très peu, textes de mon blog ou autre Goncourt ou Nobel ailleurs, voire même textes longs d'individus ignorés par un public ignare, absent, ou en lutte avec leurs transcriptions humano-divines.

EL DISCO DE LA MUERTE, en quelque sorte : vanité (mexicaine) ou mondiale.

AUTRE NOM POUR L'AMOUR : l'Amour est quatuor pour corps de cordes non-vocales  !

De sorte que cet Amour-là est le Tesla des AMOURS-COEUR !

Il est l'heure de s'y mettre...

Que ne reste-t-il des films vus ou non, qu'un peu de soi ayant fait, depuis la Jeunesse, son propre film, histoire d'une existence musi-dominus, ce processus "d'individualisation" qui a entraîné une suite de flux-reflux, sons-voix-gens d'époque en thérapie d'imagerie, de mise en réseau ou sur pellicule du monde (ou d'un monde intérieur) : musique céleste, nos printemps au parking du vécu, , flux humains en très forte croissance d'ignorance : trop de parutions, trop de choses, trop de trop-plein/vide, je révise : et les flux matériels : trop de white and black Friday - entre les pays de la Triade, mais aussi avec les pays émergeants ? Et les riches, ils ne polluent pas, peut-être ? Je m'entraîne : en urgence, quel est le thème abordé qui ne nous saborde pas ? Pour Descartes, mais aussi pour Leibniz mais aussi pour Kant, il convient d'opposer une définition (filmique) réelle (quand elle n'assure que ce qu'elle définit pour exister, que l'objet défini n'est pas contradictoire), et une définition nominale : dès qu'elle définit un terme par d'autres noms (qui exprime un mode de vie non filmé, ni parole donnée à sexe-primer/s'exprimer) - sans s'assurer (d'une émancipation) ou de la possibilité d'une transformation du (d'un) défini : ho, hier, j'ai vu une licorne, si si : ce cheval avec une corne, tu sais... :

- oui c'est cela, arrête de me faire ton film, philosophe de pacotille !

- Je m'évalue, je révise, je m'entraîne, un état d'âme seule, sans l' Etat !

 

 

Un con pétant, ça fait toujours péter la charge sous des péteux innocents incompétents !