Vu dans le bus de la ville qui m'en revenait de la grande surface, venant là, pour se sustenter et de me préserver comme un affamé regarderait les luxes...goinfres..., à propos de malice, une mère vint à monter dans cedit bus, l'enfant dans la poussette, et, devant moi, me souvenant du For-Da freudien, je vis l'enfant pleurer pour avoir sa "sucette"/titine et non la tétée publique, la mère céda au céladon déjà, qui suçota l'objet un peu, puis la jeta à mes pieds, la mère le gronda d'un oeil noir, alors elle ramassa l'objet, et la lui remit en bouche qu'aussitôt il rejeta au sol, à mes pieds, moi qui lui souris, et la mère la ramassa de nouveau, les autres passagers ne les regardant pas, que moi, à ce jeu primal freudien m'en souvint du mien, et le bébé-là, si précieux, chiala un peu confusément, regardant sa "maman" qui lui fit signe que, cette fois, non, il n'aura pas la tétine, si si, l'enfant lança : caca-ma-caca, ouin ouin...Et de pâtre, ..., gardien de ce petit-là, je lui fis signe que non - non , pas de délices !...Non non, et le bambin regarda de nouveau sa mère...qui mit la tétine dans sa poche... Moi pensai : for-da, petit lutin, for- da !... Voilà, c'était la fin de mon trajet, descendis à la station Tourbie, la place du grand Lycée Quimpérois, laissant repartir le petit élève de la vie de ce que donne la nature humaine à ceux & celles qui jouent aux multiples ...For-Da, diadème du Je-u... Et chacun tenant la sienne...d'escarbille ! For-da, caca, là, pa-ma, caca, da, da... Les âmes en peine... De quelle plus belle chose au monde que ce jeu-là de je prends, je rejette, je vais ravoir, je m'en vais attendre, m'asseoir, l'un de nous osera : for-da, à qui s'endormira tout un jour freudien à la suite d'une nuit similaire où reposer... Doutez-vous que ce je-u du bambin ne s'arrête qu'aux premières années ?...On va se détendre ! Où descendre l'escalier de nos rêve/fantasme... Allons, allons, ouin-ouin... Jouons les Flamants Roses !