LA DIAGONALE TUNING-MIROIR : il y a des rôdeurs dans la nuit...

Il y a des rôdeurs dans la nuit ; les anges, les mages, les bacchants, le riche mauvais qui donne la parabole de la "sécheresse" naturelle que l'on voit, comme les parts de chacun.e sont bien mal réparties ; les hyènes parmi les lènes, et les mystes ont leurs mythes et légendes aussi, il y a des rôdeurs à la bonne heure de lever du Jour nouveau, ce jour, s'âme-dit 6h37 - SUITE au prochain numéro, ah la Nature dans "notre enfer moderne"... ! Ce sont ces rôdeurs qui effraient ce qui suit dans la mort, ah si vous êtes hors ligne restaurée la venue de ce qui est...prophétisé par les hautes langues de feu (jusqu'à 40 mètres de haut, ça c'est vu se dresser cet enfer alors que les oiseaux de mer sur tout le littoral réclament leur dû : une écoute meilleure, car ils ont annoncé la dispersion des vivres et des habitats sereins, aux falaises qui s'écroulent d'un seul tenant, tout à trac, tout à coup, sans prévenir, ronger par les mâchoires géantes de lèvres d'écume et d'eau salée : connexion restaurée ?.. Vous êtes dans le monde de demain, déjà... Vaut mieux le rien que le tout-et-n'importe quoi... Nos enfants, qui pourtant, auront au-dessus d'eux le même ciel fougueux, cause qu'on aurait rien fait pour eux, à temps, malgré nos héros fatigués (pompiers comme Héraclite : on réclamait les pompiers, et ce sont les juges qui sont venus !).. Isocrate avant eux pointaient le ridiculisme des Athéniens face au Marathon accompli, comme leur conduite était à l'inverse de ce dont ils se gargarisaient d'être et d'agir, pfttt, rien à changer avec, dans le rôle de ces faux héros, la petitesse des politiciens et des chefs de gouv' qui n'ont aucun respect pour la vie humaine, se jouant d'elle, voulant viser, ici telle plus grande centrale nucléaire européenne, là : valeur des femmes. Pfttt !.. Ils oublient qu'ils ne sont qu'eux-mêmes, crânes vides, squelettes !.. Tas d'os sur un tas d'ordures. Et, croyant posséder leur "or" dur, comme richesse, celle-ci fondra dans les feux de cet enfer qu'ils auront eux-mêmes déclenchés, ah les pouacres, ah les petits esprits se croyant puissants au bout d'une longue table ovale où personne ne s'y assoit qu'avec la peur au vent, leurs pétulances avec ! Engeance de vipères ! La grandeur de l'honneur est de s'aligner sur celle des Anciens ! Non de jouer les Napoléon-Hitler voleurs d'âmes humaines mourant dans leurs propres erreurs répétées à la lettre, croyant "posséder" à eux-seuls Le monde terrestre à leur merci, ah les impedimenta, fourbes et futiles... Inutiles petitesses humaines face aux éléments de nature déclenchant leur Vérité divine unique. La Terre n'est pas à vous, messieurs-les-faux riches et puissants. Votre insolence stupide est à l'image de votre frêle personnalité riquiqui, car il vous faut des légions armées et traites à vos côtés pour pouvoir espérer vivre dans votre bunker d'ombres, aussi peureux que lâches. Ah, petits hommes ! Grandeur à l'enfant qui joue et qui sourit, gloire aux oiseaux de mer, aux koalas qui rêvent dix heures par vingt-quatre jour/nuit... Heureux "les pauvres d'esprit", riches de leurs spiritualités.

Et, les rosiers ont soif... Non d'être inondés, étouffés...

- cette image : Matthieu 24.43 : « Vous le savez bien, si le maître de la maison savait à quelle heure de la nuit le voleur doit venir, il resterait éveillé et ne laisserait pas percer les murs de sa maison » et  Thessaloniciens 5.2 : « En effet, vous savez bien vous-mêmes que le jour du Seigneur viendra comme un voleur dans la nuit ».

William Wordsworth, «Ode à l'immortalité» de 1807 :

Bien que l'éclat

autrefois c'était si brillant

aujourd'hui reste à jamais caché à mes yeux.

Même si mes yeux ne sont plus

vous pouvez voir ce flash pur

qui dans ma jeunesse m'éblouissait.

Même si je ne peux rien faire

retour à l'heure de la splendeur dans l'herbe,

de la gloire dans les fleurs,

Nous ne devons pas nous affliger,

parce que la beauté subsiste toujours dans le souvenir.

Dans cette première

sympathie qui étant

été une fois,

ce sera pour toujours;

dans les pensées godemichées

qui ont germé de la souffrance humaine,

et dans la foi qui regarde à travers la mort.

Merci au cœur humain

pour lequel nous vivons;

grâce à vos tendresses, à vos

joies et leurs peurs, la fleur la plus humble à fleurir

peut m'inspirer des idées qui souvent

Elles sont trop profondes

pour les larmes.

(Couverture : Felice Casorati, Le rêve de la grenade, huile de 1913, collection particulière)

Splendeur_dans_l'herbe_poème

L'extrait appartient à un poème de William Wordsworth, l'un des plus importants poètes romantiques anglais, qu'il a composé en 1807 et intitulé « Ode à l'immortalité ». Wordsworth réfléchit à la fugacité du temps et au souvenir des instants illuminés par l'éclat de ce qui est vécu pour la première fois.

Le rêve de la grenade

Heureux mariage

FEMME DANS L HERBE @rappe poème et photo DORIS FERRIN