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17 septembre 2017 7 17 /09 /septembre /2017 09:23

Ces pensées se sont succédé, elles ont donné chemins heureux de la rêverie, mieux que bonheur, faux ami, lui
qui passe sitôt vécu.

 

Lumière couleurs du Jour
Rehaussées à chaque nuage
Les ombres égarent la nuit
Malgré le rêve paradoxal encore présent qui luit

Soleil qui rit
n'est pas vache...
même si aujourd'hui
il n'y en a pas ou si peu pâli...

Le soir adoucit sans un souffle
Loin des toits à canopée simple des bois 
Frugy et Montagne noire
La plante à fleurs qui signe la Bretagne
jaunit tout l'entonnoir
des champs de coquelicots
et ce n'est point le pissenlit
ni le colza
ni la gesse des près
ni l'immortelle des sables
ni le lotier ni plus l'iris sauvage
Petit rinanthe ou cocriste 
non plus de Gauguin Jaune le Christ 
Sedum et séneçon : - Non !
mais bel et bien le bel astucieux Genêt
non frère du Ficaire
ou criste marine : Non ! mais bel et bien le Genêt
gentillet...

Tout explosa, tout prit feu, la vaste résidence blanchie de plâtre s'écroula, les vitres éclatèrent, et les locataires crièrent, appelant à l'aide, et certains chutèrent avec les balcons qui chutèrent, les portes de garage s'ouvrant, se refermant, emportant avec elles les corps chus qui suivaient ainsi les mouvements électriques défaillant, et portes qui se relevaient, portes qui se rabaissaient, avec les corps dénudés dessus, qui n'étaient plus que marionnettes de rêve paradoxal qui ne resterait à l'état létal si les morsures du soleil ne griffèrent les nuages matinaux dessus les "portes éclatées" qui s'extrayaient de l'horizon, là-bas, cet azur caparaçonné de glaçons d'automne-hiver et d'étrange aux festons enneigés de ce sublime boyau du mental du rêveur se réveillant à peine, on prendrait des Lunes pour des trains de bandits...fuyant le paradis pour leurs enfers périlleux parmi les cieux "sans mélo"... Où il aurait fallu interpréter cet incendie, descendre et monter, éclater de partout sous la force des flammes, sans rien oublier à peine les yeux ouverts, en traînant son corps lourd hors du lit, quelqu'un préféra préparer le.... café serré sans sucre... Et but. Il sut déjà ce que serait sa Journée du...Matrimoine privée. Alors, il jeta loin de lui le Livre de ses rêves paradoxaux, et lança la voix gracieuse de Grace Jones - I've Seen that face before - pour son Liber Tango...perso...

C'est l'Ouest, n'est-il pas ?...
A première halte, source de lumière magique, et chant de quelques oiseaux de mer, un soleil glorieux qui claque sur l'heure terrestre (qui n'est pas le temps céleste), cet automne qui débute, les perles de rosée sur les fougères qui égaient les yeux, un sel de l'iode de l'oubli des existences, rêveries sans réserves, la sensation de la nuit laisse le corps à dire des choses quelquefois bizarre, enfin, comme de prononcer : encre de seiche, au lieu de : encre dessous ce qui cache l'arrangement des choses, sans complexe et sans dégoût, par Enjoy Live, uniquement. nul n'oublie à l'arrache-rêve, ces images qui encombrent le paysage mental..., un livre d'Octavio Paz ouvert sur la table. Un livre de poésies, sous aucun titre précis (on ne voit pas la couverture, à livre aux ailes des pages déployées, ouvert)...C'est la simplicité des choses qui se montre, aujourd'hui. Les brumes sont passées. Aucune traces pourpres. L'air frais paraît. On s'y baigne aux premières heures... de la beauté du monde.

Street plage art natAbsence de ...
Dieu et Satan ?
Reste la Nature
tout le temps -

Les réfugiés Rohingyas ne seraient plus qu'intouchables en voie de disparition, plus qu'un souvenir d'archéologie sous-humaine, bâtards méprisés sans eau ni nourriture, population déclassée pis qu'une race animale en voie d'extinction, pas même défendue par le Prix Nobel de la Paix, Aung San Suu Kyi, pourtant honorée, admirée, pour sa défense des libertés et respect des droits de l'homme, à ce jour totalement silencieuse, car menacée elle-même d'un ignoble chantage : dénonces-tu, nous t'exterminerons, disent les bourreaux, si bien qu'elle ne répond jamais plus aux invites de l' ONU pour représenter ce "peuple" à la dérive du pire, un génocide à nouveau visage : l' Indifférence généralisée, si bien que l'on préfère parler des futurs J.O 2024 que d'alarmer, d'alerter sur l'abominable extinction de ces - populations chassées de leurs zones de vie, enfants égarés dans une nature défrichée, femmes violées par plus d'un, leurs hommes massacrés à la "schlague" de fortune -, fermons les yeux, jouons demain (de, plus en la pire des banlieues parisiennes, le 93, la St Denis trop connue par ses cartels de drogue, quota équivalent au budget d'une ville), et, d'une Afrique ensanglantée, n'en parlons pas non plus, nouvel objectif : Paris 2024.. (déjà, comme l'ai-je souligné hier, menacée par des extrémistes-nihilistes haineux qui ne supportent l'effet festif et joyeux en une colonie d'humains considérés parias d’Allah, mécréants, et "croisés" comme d'antan...)... Mais, quid demain de ces horde de Rohingyas dévorée par les piranhas (pire à nia paix-tendresse amour humain...universel celui de ceux-là qui n'aimaient pas, bourreau criminel) qui la rayeront de la surface planétaire, effaçant leurs moindres pas dans les forêts perdues ?... Et, de la force divine en tout ça, aussi ?... Page tournée de Bible au naturel de la triade : seducare-educare-secare ? Plongée en eaux troubles dans l'océan de nos tristes sociétés indisciplinées, peu amènes déjà, à sauver son voisin d'étage... : tu ne m'aimes pas ? Dégage ! Pan, et l'on tue, l'on massacre, à la simple pulsion aveugle ! Mais là, drogue dans la région "verrouillée", trafics développés, surveillance ultra-militaire ?

 Phrase que l'on se dit soi-même en entrant dans la...Bibliothèque Médicis, et d'autres méga-biblothèque/médiathèques.... ou autres librairies aux murs tapissés d'ouvrages non lus, voire même les Bouquinistes des quais parisiens , à se gratter la tête devant tous les "savoirs" publiés non lus... Et, si l'avenir des étudiants n'est pas d'avoir des diplômes, bref, que nous reste-t-il d'espoir si même la Bulle de Socrate nous "parle"... de nos ignorances - Je sais que je ne sais rien... - ?

SEMAINIER DE L'INSTANT  " T " - sans l' été -
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