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24 octobre 2023 2 24 /10 /octobre /2023 13:37
A flamme douce, Festin des Off...

Prologue allégorique à la gloire des flammes / Fl'âmes.  (Prélude) 

La lumière secrète se crée de nous en nous
sécrète des actes artistiques L'ombre au bout
 
 
Peut être une illustration
 
 
Chaque instant qui nous vient sans calcul  (Prélude) 
est vrai miroir de l'autre à soi reconnu
cerveau éclairé
de pensées solaires sur de purs sentiments
Tout cela
Esprit renouvelé
vers quoi
tendre La vigilance
(Sérénité d'une maison, réalité de saison)
L'homme adore se vêtir de la femme
Acte qui le personnalise
en agilité vibratoire
Ecouter Le corps Savoir écouter
au creux de l'épaule :
- Tu me remplis, toute...
(ou, parfois)
- Suis-je trop étroite pour toi ?
(Tout cela en une nuit)
Après l'amour
La page est sans fin le désert d'un poème
Au grand retour
de la suivante purifiée
La page est souvent puits central
où s'abreuver -
Pages de vie en profondeur
encore entièrement secrètes
Si oubliés qu'ils aient pu être
si solitaires
si loin de tout
L'âme au repos dessus le lac tranquille
Leurs yeux mélancoliques se re-gardaient déjà
se sont éclos
en tout cela de leurs baisers
Pages de Bible Imprimatur de ce qui dure -
La pause fait de la musique
La vie, succession de fortune ironique,
ne point la presser,
Tagore : "si vous fermez la porte à toutes les erreurs, la vérité restera dehors"...
Point d'avidité, cela qui nous revivifie,
allez, construisons les ponts, détruisons les murs !
Ne perdez jamais vos plus grands rêves !
Gardant d'Epicure : - "Celui qui ne sait pas se contenter de peu ne sera jamais content de rien"...
Crédit Photographique@Berthe Morisot - La Fable
Peut être de l’art
 
 
 
o
 
 
 
1 / Chaque instant qui nous vient sans calcul
est vrai miroir de l'autre à soi reconnu
cerveau éclairé
de pensées solaires sur de purs sentiments
Tout cela
Esprit renouvelé
vers quoi
tendre La vigilance
(Sérénité d'une maison, réalité de saison)
L'homme adore se vêtir de la femme
Acte qui le personnalise
en agilité vibratoire
Ecouter Le corps Savoir écouter
au creux de l'épaule :
- Tu me remplis, toute...
(ou, parfois)
- Suis-je trop étroite pour toi ?
(Tout cela en une nuit)
Après l'amour
La page est sans fin le désert d'un poème
Au grand retour
de la suivante purifiée
La page est souvent puits central
où s'abreuver -
Pages de vie en profondeur
encore entièrement secrètes
Si oubliés qu'ils aient pu être
si solitaires
si loin de tout
L'âme au repos dessus le lac tranquille
Leurs yeux mélancoliques se re-gardaient déjà
se sont éclos
en tout cela de leurs baisers
Pages de Bible Imprimatur de ce qui dure -
La pause fait de la musique
La vie, succession de fortune ironique,
ne point la presser,
Tagore : "si vous fermez la porte à toutes les erreurs, la vérité restera dehors"...
Point d'avidité, cela qui nous revivifie,
allez, construisons les ponts, détruisons les murs !
Ne perdez jamais vos plus grands rêves !
Gardant d'Epicure : - "Celui qui ne sait pas se contenter de peu ne sera jamais content de rien"...
Crédit Photographique@Berthe Morisot - La Fable
Peut être de l’art
 
 
 

Toutes les réactions :
Claudia Camarena de Obeso
 
 
 

 

2 . Sans fin, flux et migrations ; eh donc quoi ?...Plus de quinze ans maintenant aussi que les flux migratoires sévissent depuis la fermeture de Sangatte par Sarko (une fois de plus, son ombre plane sur les incidents majeurs actuels, ici et là, enfin, sa/ses... décisions ombrageuses)... Or, le problème sera récurrent si aucune part franchement nette est tranchée politiquement sur ce sujet dont on n'aperçoit que le pic de l'iceberg..., une fois partis, les migrants, ils auront toujours un démêlé avec là où ils seront "accueillis" (à bras ouverts ?)... Quid des flux espagnols, italiens et d'aucuns, autres ?
Chaque fois que je passe rue Elie Fréron
à Quimper
Je pense à l'ennemi juré de Voltaire
lequel railla le journal du premier : - l'Année Littéraire
en l'âne littéraire
par ses vers
sur le rival du polémiste du Nom
"L'autre jour au fond d'un vallon,
Un serpent piqua Jean Fréron ;
Que croyez-vous qu'il arriva ?
Ce fut le serpent qui creva..."
(Elie Catherine Fréron ; 1718-1776)
Où va ton Conatus ?
- Dans l'atome insécable...
Kekçaa, Crepitus ?
- Monade du pet, noumène incorporelle qui échappe à toute perception...
Kekçaa, Crepitus ?
- Je vous l'ai dit, et ce vent dans l'azur, venu de phénomène si peu Kantien du ventre de Rotas Opéra
Kekçaa, Crepitus ?
-... Paster Noster à l'envers, L'O dans l'A, oméga de l'alpha, fin de tout commencement...
Kekçaa, Crepitus, ô Râ du pet, dieu Romain qui préside à toutes séances des flatulences, Kekçaa ?
- Au ventre distandu, tous les ballonnements de l'Univers des astres, grand désastre du vent ! Toute acrasie des vies !
Kekçaa, ô si grand Crepitus ?
- Un manque de volonté, un tout relâchement...
Apathie d’Épictète ?
- Un peu de ça, un doux trouble évident...
Kekçaa du passionnel, ô vaillant Crepitus ?
- Un rendez-vous manqué, à priori, assertorique...
Peut-être est-il remis ?
- Tout bloc de marbre n'est jamais rien qu'une statue en attente d'être sculptée, il est vrai, or je ne suis Rodin, et n'ai guère de carrare que ce minerai du cas, rare !
Est-ce pour ça tout ce vent de Virtù, ô divin ventre, Crepitus ?
- Je crois bien... Et la mouche s'est perdue... dans le vent !
Kekçaa, quelle mouche, ô vaillant Crepitus ?
- La recéleuse de l'anus...
Ah je vois, et je sens, ô bouton de Crepitus ! Tel au XVIIIème, lorsque belle faisait ressortir leur bon et beau teint, sous quelque taffetas noir unetelle dissimulait "son" bouton ?...
- Oui da, la "mouche"...du pet, cela qui est mienne !
Oh l'effrontée, sieur Crepitus, divin maître !
- Non point, l'ami, non point, ce n'est point sur le nez !
Aujourd'hui donc : me sens un peu Truphémus
en mon fauteuil crapaud, sans plus...
Lecture...Colette, L' Herne.
Peut être de l’art
 
 
o
 
 

Nul ne méprise le plaisir, nos yeux emplis d'amour, de rêve et de rayonnement pour Vous tous-tes.... Vous verrez, bienvenue, revenez, ô vous qui n'avez beauté emplie de charme, revenez, amour qui n'avez jusqu'alors existé !

Tant gentil est ce lever d'aurore
que nouveau jour sourit soleil pâle
dans ces yeux l'âme porte à l'aube
par quoi tout ce qu'elle touche s'enflamme
et s'ennoblit
où qu'elle pose l'aile tous les oiseaux s'égaient
où qu'elle file tous les humains s'étonnent
et de cette fleur qui la regarde à en baisser pétales
ainsi que des yeux mêmes
fleur trésaille si fort qu'elle s'en émeut
faute soupire quelque peu
devant l'âme s'enfuit l'orgueil dès l'aiguail
du matin qui pointe
ainsi qu'un sein frais et pur
devant elle s'épanouit le sourire de Dieu
et dans ses yeux l'âme emporte à l'aube
toute colère et tous les poisons de l' Homme
Aidez-nous d'âme à honorer votre robe
si légère au dénudé de nos plaies premières !
Toute douce heure et toute humble princière
Pensée née du cœur ajustée à votre grandeur d'âme
D'en saisir le doux tressaillement
Bienheureux qui d'une fois sait la contempler
et l'a vue toute nue ainsi qu'en tout léger sourire
elle semble ainsi n'allant d'aile d'aurore que par La Nue
et ce dès l'aurore !
Ô D'âme aidez-nous à vous aimer encore...
Cela ne peut se dire qui se garde en mémoire...
Cela ne peut se taire car cela peut se voir...
Tant gentil est le lever du merveilleux
tant !
Tant la mondialisation-globalisation
nous en déshumaniserait un Dieu !
Peut être une image de 1 personne
 
 
 
 
 
Hugo parking Domicile
Flèche de Saint-Corentin
la Cathédrale, au loin...
Peut être une image de sortie de secours et crépuscule
 
 
Tel chemin file en ville
tel autre grimpe jusqu'en campagne
L'humain pense à la guerre
oubliant le sens de la Bienséance
Les berges de la vie sont bi-millénaires
mais la pensée humaine si peu farcie d'azur
qu'elle en détruit son bien : - La Nature !
Visa pour l'au-delà
(au fait, qui l'a ?...)
Tel chemin file en ville
Au langage flouté
le monde a perdu sens
Quel est ce présent
de papier
qui se déchire ?
L'immortalité
signe la vie du Jour...
Lorsque l' Éternité
subsiste dans l'Amour !
(au fait, qui l'a ?...)
Lorsque l' Éternité
subsiste dans l'Amour !
Aucune description de photo disponible.
 
 
 
 
 
MISS ROSE A L'ICÔNE DOREE : 
Le sot se ballade
S.O.
S
La ville est dans le brouillard
S.O.S
Laisse haut
Le SO-
leil
Qui tisse sa balade
en rayons de poèmes
plus loin sur la contrée
Ville à l'agonie ?
Vie
en bi-polarité
(par "sauts et gambades" ?)
Le garçon rentre dans l'univers d'une fille légendaire
et alors le garçon rentre dans l'histoire des mythes
entre ici et là dans le monde des garçons et des filles
face aux murs des forces contraires de l'érotisme et de l'amour
qui constituent l'Histoire Humaine en la fournaise des cours
(hélas) .... d'argent sans l'art et les gens... Suite à satisfaire !

QUELLES LARMES NOUS SUIVENT JUSQUE Là-bas si haut depuis ci-bas ?

Mieux qu'hier et bien moins que demain
Aucune description de photo disponible.
 
 
 
 
INDISCRETION DU REGARD SLAVE  (celui qui a l'âme mélancolique des russes d'avant)
A flamme douce, Festin des Off...
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