PSY-CAUSE

Bien, de marcher augmente le capital santé (comme d'un gain de 20 000 euros à l'année), plus que de se fatiguer (à l'année) de réclamer sans fin (ni faim jusqu'à plus soif) une augmentation mensuelle de 200 euros, ou de 2 000 - pour les plus gourmands -, et diminue de 20 à 30% les risques de diabète (type 2), de cancer pulmonaire, de maladie cardiovasculaire, de cancer colorectal, de dépression, de démence, de folie (prendre l'air aére l'espace intérieur de...son corps, gloups), et la marche gagne un meilleur soulagement de probables douleurs autant lombaires que graisseuses musculaires (moins de graisse corporelle améliore en beauté longiligne la silhouette en activité physique, voire de porter ses courses plus que de fourguer dans son coffre de voiture), bref, se promener dans la rue est toucher un pactole de bonne santé illico presto, ohlaho, j'y go, j'y vais, c'est grand soleil dans le bleu clinquant du ciel quimpérois !.. Faire le marché avec le petit panier, solution de facilité physico-mentale, idem. S'amuser dans un parc pour qui en a décidé ainsi, c'est aussi diminuer le repos en fauteuil-canapé-chips.. Gloupsci Gloupsça..et monter, et descendre les quatre étages d'escalier marbré de ma résidence, j'y fais ! Plus d'ascenseur (enfin, 90% moins !) 30% de mortalité en moins qu'aller marcher dans le soleil, cher à Rimbaud, d'ailleurs..., ignorant la définition de l'activité selon l' O.M.S : "tout mouvement corporel produit par les muscles squelettiques entraînant une dépense énergétique supérieure à celle du repos"... Hého ! Le savoir autant que de le pratiquer améliore également : sommeil, estime de soi & confiance en soi, réduit tout stress-angoisse-panique, dynamise le cerveau et la vie sexuelle égale à la sociale : tout open à la Joie !.. Voilà. Bon, j'y go - sans ego !...Remède miracle : un pied devant soi... Ah, d'accord, d'à-corps...

Rien qu'un cheminement jusqu'à la poissonnerie, non loin de la boulangerie, quelques maisons gorgées de silence derrière des volets clos, un filtre solaire sur d'autres façades, on laisse le jour aller - nul ne le retient - ne sait le retenir - jusqu'à la nuit qui va venir, sans faire la maligne - je vais gober le jour, tout sera mort et noir, nul n'y verra plus rien, allez zou ! - en émergeant d'un rien qui tombe du jour qui ronflote... Lenteur des heures, et pourtant tout file, sans qu'on saisisse le présent défaillant...On pourrait éviter qu'il ne chût !.. Une rafale de secondes, les dernières, on se mémorise un corollaire...naturel. Mouvance du temps : plus le mouvement est rapide, plus court est...le Timing, c'est moins sympto-matique qu''auto-matique !

Magique !

Connaîtrons-nous jamais ce que le divin dit à Sa Création, à moins que d'abonder dans le sens sacré des Écritures, les yeux fermés, y adhérer de confiance, si la première terre a souffert d'être ainsi déchirée en plusieurs parcelles d'autres morceaux de terres, par une tectonique des plaques non voulue que de l’Éternel, comme sous la colère on déchire un vêtement, un livre, une page mal écrite, brise à bout de genou en deux une branche d'arbre-d'où l'on vient, la nature a évolué sous quel ordre ? Ici on déracine, là, on écobue si mal que toute l'écorce de la Corse brûle, plus de châtaigneraie, mais dîtes, il nous restera quoi, en définitive de la planète première ? Au violent souffle d’Éole, des parties entières se déracine indépendamment du mouvement des astres, ah quel désastre que de ne rien respecter du naturel ambiant ! On finira par croire que l'ordre des choses agit selon de subtiles causes ! Le principe premier de la Fable Humaine ?

De mon côté ?...Réfléchir sur le Monde Le Cosmique Un, c'est moins comique...mais ça fait du bien spirituel... N'oublions pas que le mot-clé du siècle des Éclairés dit des Lumières, il ne fut ni plus ni moins que le nôtre à longueur de redites philosophico-poético-médecine douce : - Le Bonheur !

Eh voilà le travail, rien n'a évolué, en fait, dans la quête paisible des cœurs !...

Oh, dîtes, le voisin a pris sa tronçonneuse, et vas-y que je t'élague tel buisson, tel arbre, telle foldingue herbe folle, mercuriale, à lui lancer par la fenêtre ouverte :

- Eh là-bas, que faites-vous donc, et le respect de la Nature ?...

- Et ta sœur ?...

- Elle est à Morhange, ma sœur, et il n'y a mort d'ange !

- Tu me la présentes ?...

- Et ton frère ?... Qui ouvre nos consciences ?

Où est le symbolique là-dedans, alors ?

@Louvre@Tête dans un corps d'araignée

Redon, Odilon

RF 40606, Recto

Département des Arts graphiques

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