TOPIC PENSERS RUE ESQUERMOISE, JADIS..

Assis sans bouger, méditant tout l'après-midi sur mon fauteuil crapaud Casanova, quel est le "moteur " du temps qui est passé sans même que j'en voie son espace-corps ?..Galilée, le chemin fut long et court en "même temps" - Visiblement, j'ai vieilli d'autant, or je garde le courage de sourire au temps qui passe, quid du temps, sans oublier le Fleuve d'Aristote ni la Pensée d'Augustin qui ne surent le définir "réellement", si je puis dire ; bon, ...demain est un autre jour... éclairé d'un dernier jour.

La démocratie, la liberté sont-elles une aporie ?

Avoir des amis, c'est être riche (Plaute)

Cher Apollinaire, OUI, "il est grand temps de rallumer les étoiles" ! car toute structure qui ne se bâtit avec le cœur , s'autodétruit ! Dans L'Univers Cité, les brillances sont plus naturelles qu'à l'université, d'autant que Prof, c'est un "nain" à l'instar de Timide, dans Blanche-Neige..., en sub-luminosité (subluxé, dessous notre lumière) et non en sub-limité...(Etoile hors limite), es-tu toujours Atchoum,(Malade) Grincheux ou encore Prof Simplet Timide Joyeux-si peu Dormeur éveillé... !? Quand est-ce donc ma vie brille en un cercle immense jusqu'à rayonner ?..

-- D'où viens-tu, de quel univers cité ?... Des-espirit / désespéré ? Réinspire-toi... Les mamelles de Tirésias donnent tout le lait de l'Univers... Cœur, réceptacle de l'âme... Energie du don dans le retour du recevoir...En-corps : “Douce poésie ! Le plus beau des arts ! Toi qui, suscitant en nous le pouvoir créateur, nous met tout proches de la divinité. "...

On reste en contact, dans un monde sans contacts.

On vit sous G.P.S / Guidé Par Symptômes (plus ou moins éloignés ou bénéfiques de notre modèle de Vie lumineuse)

@PHOTOS F.D

Tout ce dont j'ai fait n'a aucune importance.

Etiologie des névroses jadis ?... Causes : l'eau des lapsus, d'actes manqués (ou réussis que sont les comportements d'échecs plus que les chèques...réunis pour subvenir aux petits besoins quotidiens), rêves, rêves si étranges, seules les femmes connaissent les femmes...Névroses jadis d'une sociopathologie passable ? Les femmes ont aussi de ces exigences, tout de même !... Une femme ne se posera jamais la question de ça-voir pourquoi elle est "une femme", l'homme si, il n'arrête pas de se demander : tiens, pourquoi j'existe avec ce sexe là, moi, hé oh, hé !...Petite partie d'une "personnalité" somme toute humaine... Quelle est donc bien cette pointe de l'iceberg de l'Habitus qui dépasse ?... Coupons tout ce qui dépasse, me disait maman...Ah...?... Apparition de l'impasse...Eveil avant le Namasté !...Un schibboleth du dynamisme inconscient (pourquoi corriger ce qui était si juste à l'épi ? Viens ici que je te coupe ta tignasse, disait encore maman...Trop de cheveux feront ton "infini turbulent"...), il était mon signe de reconnaissance verbale en mes petites écoles jadis, maternelle et primaire...d'Hazebrouck (Hauts du Nord, maintenant).... Peurs et terreurs ne sont qu'effets d'imagination. Troisième dire de maman : surtout, tu traverses bien la route, car ne passe pas devant cette maison-ci (elle me la désignait d'un doigt aussi pointu qu'une verge non décalottée de puceau), il y habite une ....sorcière ! Et, n'imagine pas ton avenir radieux, affirmait sa quatrième assertion, l'avenir se vit au présent, n'imagine rien d'autre, allez, va étudier maintenant ! et sois sage, hein, je reviens te chercher ce soir... (L'école n'élève pas, elle engloutit nos savoirs vrais ; ça nous rend si névrotique dès la petite enfance que notre mode Schibbolethique nous apparente à la capacité de sublimation, de là j'écrivis et dessinai... , à en énerver le paternel : l'art, l'art, l'Art ! T'arriveras à rien, avec ça, triple sot, calcule, les chiffres, les chiffres, ça c'est qué-que-chose !...Il est mort, ayant accumulé plein d'argent sans le voir ni le pouvoir toucher.... Et, sur sa tombe, je suis allé lui dire : quoi, l' ART ?...) PAGE PATINE DU TEMPS /...La patine du temps

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L'existence humaine est la seule dans laquelle on souffre suffisamment pour éprouver l'impérieux désir d'échapper au cycle des renaissances, sans pour autant être privé des circonstances nécessaires pour entraîner son esprit à atteindre l'Éveil. Si nous ne profitons pas de cette chance inestimable, nous n'aurons pas d'autre choix que de dévaler, comme une pierre, la pente qui mène aux mondes inférieurs du samsara.

Extraits révisés de Au Seuil de l'Éveil, Dilgo Khyentse Rinpoché, Padmakara, 1991

DILGO KHYENTSE RINPOCHE (1910-1991)