Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
/ / /
A PETITE CHINOISE

Partager cet article
Repost0
Published by Bertrand DELPORTE - dans Oniromancie po-éthique écritures journalières
/ / /
Bon, ici dans ma Room coloriste, TKT TKL, suis pas localisable, et puis n'ai pas de ....Brother big Friendly ; top gun, trop cool, y'a plus rien à faire dans mes affaires, wouah trop bien la "in" du monde dedans sa fin ...si fine, in fine - qui nous viendra toute seule, comme ça, d'un coup d'un seul, Paf : Boum-tac dirait Céline...Eh hop-là, Ciel-In ! Tous...Toutes;
Photo @Bertrand Bonello, in Coma
Peut être du pop art de chambre
 
 
Rêve de... Coma (dix êtres autour de moi .... qui....)
Peut être une image en noir et blanc
 
 
 
 
 
 
 
COMA LIMBUS
Partager cet article
Repost0
/ / /

Partager cet article
Repost0
/ / /

Partager cet article
Repost0
Published by Bertrand DELPORTE - dans Esotérisme et Spiritualité écritures journalières po-éthique
/ / /
Queer Amann.

Faire partir de la communauté LGBT nous expose généralement à quelques dangers. Chaque jour, les personnes LGBT sont victimes de discriminations partout dans le monde. Pour sortir de ce calcaire, plusieurs associations LGBTQI ont donc pris la résolution d’organiser la marche des fiertés. Cette année sera organisée la marche des fiertés gay à Quimper le samedi 2 juillet 2022. C’est l’occasion idéal pour les personnes LGBT de faire des revendications.

Samedi 2 juillet 2022 : première Gay Pride à Quimper

L’association Phénix, qui lutte pour la défense des droits des personnes membre de la communauté LGBT, organise, en collaboration avec la Ville de Quimper (Finistère), une Gay Pride nommée « Queer Amann ». Un village associatif et plusieurs animations vont aussi se faire durant tout l’après-midi à la place Saint-Corentin.

Queer Amann. C’est ainsi qu’est nommé la Gay Pride qui se tiendra le samedi 2 juillet 2022 à Quimper (Finistère). « Cette manifestation, longtemps attendue par les personnes membre de la communauté LGBTQIA + dans le Finistère Sud, a pour objectif de favoriser la visibilité de cette communauté », déclare Doriane Kabahizi, premier responsable de Phénix. L’association, qui est composée de cinquante membres, effectue cet événement en collaboration avec la Ville. « Je suis très heureux de recevoir cette première Gay Pride dans le centre-ville en 2022 », a annoncé le maire socialiste de Quimper, Isabelle Assih. Le combat contre les discriminations et les crimes reste une priorité, bien qu’il reste beaucoup à accomplir dans ce domaine. Il est important de savoir qu’en France, les élus de Quimper sont les premiers à avoir voté un vœu qui déclare la ville zone de liberté pour les personnes membre de la communauté LGBT (personnes homosexuelles, personnes bisexuelles, personnes trans, personnes queer, personnes intersexes ou asexuelles et leurs alliés).

« Faire danser Quimper »

Samedi 2 juillet 2022, un cortège devra partir de la zone de la gare pour aller aux quais, et ensuite à la place Saint-Corentin aux environs de 17 h. Un village associatif devra prendre place au pied de la cathédrale avec plusieurs danses dans la journée et dans la soirée. « Depuis plusieurs mois, nous mettons toutes nos ressources sur ce projet », souligne Doriane Kabahizi. Lors de cette manifestation, il y aura de la musique et plusieurs chars. À l’arrivée, place Saint-Corentin, quelques associations vont pouvoir sensibiliser les passants. Pour boucler l’événement, des concerts seront organisés sur une scène mise à disposition par la Ville. Plusieurs artistes de Phénix seront présents afin de rendre la soirée plus ambiante et inoubliable.

Par ailleurs, lors de cette marche des fiertés, de petites restauration sont également prévues. « Nous disposons d’une autorisation nous permettant d’occuper la place jusqu’à 1 h du matin », a ajouté Corine Saliou. Ce ne sont pas seulement les villes les plus influentes qui réalisent ce genre de manifestation festif et revendicatif. Nous voulons être ravies de faire danser Quimper ». Bien que cette marche des fiertés soit la première, elle promet d’être un grand moment joyeux et festif pour Quimper.

Partager cet article
Repost0
/ / /
ALLÔ...GOUINE D'HALLOWEEN ?
Allô Gouine ?...
Oui ?..
Le Monde ou rien ?
Halo Dionysien......, viens... Ô mon Zeus-machin !

POUR UN ...MINON MINETTE ?

YES !...

CHOUETTE ! Le temps de prendre mon jouet, un trident Royal, et j'arrive sous ta couette !

CHOUETTE CHIC ALORS... TY PIC !

Partager cet article
Repost0
/ / /
TOUT NU LISSE ET SEUL (POL)

IL VAUT MIEUX ETRE NU ....QUE MORT, pensée de ROI VIKING !

Ayez confiance en la puissance qui habite en vous.

- Au ...Gay savoir, joue tes propres règles pour gagner, joue ton propre tambour, façon paradigme Nietzschéen 275 :

Quel est le sceau de l'acquisition de la liberté ? - Ne plus avoir honte de moi-même

et, 272 :

- Qu'aimes-tu chez les autres ? - Mes espérances.

 

Amant des Etoiles de tout horizon tel acabit sur les hauteurs ou toute terre s'éveille, mon corps - tout nu lisse et seul - à l'image de l'Histoire d'un temps moderne des LGBTIQ+& nosex, il engrange chaque rôle abouti, sans rapiécer le tissu de peau des handicap-sex..ni d'instiller aux manipulateurs-faux séducteurs/trices une même source de vie pleine de Liberté authentique, paysage de peau pour nudité éhontée - aucune autre vie ne se couvre de ridicule que celle qui a honte d'elle-même ; sur le visage de l'Amour, l'ange bisera-t-il le troisième Œil ? A la fontanelle déjà s'ouvre ledit message : lequel secourable le recevra-t-il, l'ayant perçu (ou lu, même ?)

Au lecteur manquera-t-il ici quelqu'histoire (bassement tranchée : début-fin-marquée de multiples rebondissements&surprises), qu'à danser cadencée de joie poético-spirituelle dans le Champ du ça-voir, en japonais, déjà la papeterie Tsubaki de Ito Ogawa n'en fournit guère davantage, qui n'en a pas !

Partager cet article
Repost0
/ / /

Partager cet article
Repost0
/ / /
NADI SHUDDHI

Partager cet article
Repost0
/ / /


 

En un appartement du quatrième. On la mate. Tel du dédain hautain d'un professeur d'université qui, spécialiste d'un auteur, n'a que faire de qui lui apporte une complétude à un sujet-témoin qui prend le blâme avec intégrité, élégance, pour replacer de la couleur de sa vie ainsi que plumes de paon. Roue du temps. Roucoulement. L'homme du quatrième, nu, derrière un paravent de grillage vert, il se touche à se manuéliser, visant, fixant, la demoiselle vendant au mieux ses brins de muguet.

Comme. On le mata dans la cour de récréation. Après. L'humiliation continua dans les wécés du préau. On sortit les portables. Chacun fit le selfie de la fiotte, ordonnant telle ou telle pose.

Les ravis trouvèrent leur jouis-sens, à en lire à haute voix leurs rêves éveillés, via les paginations de leurs nombreux fantasmes remontés de la surface du sous-inconscient qu'il lui balancèrent à la figure (leurs envies, leurs promesses-de-lui faire, du tu-ne-paies-rien pour attendre...)

Et, dès lors et partout, en commençant par la fin, chacun-chacune retrouve le début, le selfie qui refleurit toute vie (je selfie, tu selfies, il selfie, nous selfions, vous selfiez, ils ou/et elles selfient ; quiconque ne se selfie, la vie n'a plus goût de rien)... Tout le temps, l'objet-écran, en poche, à reprendre en main, rectangulaire, et, toc-toc-toc clic-clac dans la boîte, on se recule un peu pour flasher la vendeuse de muguet qui tient en main un bouquet de sa confection, assise sur son trépied, face à sa table (1, 2.50, 3. ou 5 euros muguet agrémenté d'une rose ; au choix) de jardin, au coin d'un trottoir d'un carrefour, en sortie de Providence, quartier du Nouveau Monde... Un couple. Possible : des parents, une famille, un couple d'amis. Ils apparaissent de loin ainsi que des connaissances se retrouvant. Là.

Un coin paisible. Hier : 600 manifestants, une agression à la C.A.F... Répit.

On siffla la fin de la récrée. Lui. Il resta prostré, tout nu, au fin fond d'une toilette souillée, aux murs tagués, accroupi, en fœtus façon Sorrow, dos contre le mur crasseux. Son cartable, balancé par la porte battante, d'une main inconnue : tiens, v'là ton truc, pinquin !

Un autre rêve pour fortune d'évasion. Il en sortit un cahier à spirales sur lequel il avait notifié sa Quatrième dimension (au lever, j'ai gagné l'utérus cosmique, le pays des rêves ; l'analyse est une lyse anale)... On le disait en avance sur son temps, il traînaillait deux classes au-dessous de celle où il dût être ! Avec les « grands » comme on disait à l'école des garçons où aucun sexe féminin ne se vit que dans le mental de qui, comme ce vilain-là, dût aussi n'avoir pas les attributs masculins. Une virgule recroquevillée sur deux bourses riquiqui accolées. Ce qui suscitait bien du raffut : allez, fais-nous voir ton erreur, allez quoi, montre-nous ça... Une photo, c'est pas méchant.... Oui, le devant, c'est comment ? En tout, il faut expérimenter.

*

 

Au deuxième jour qui tonne la commémoration de la bougie de Vinci qui s'éteint au bras du Roy le pleurant, il se trouve qu'un corps-matière a été déniché en fin d'une voie forestière, en croix, piqué des pointes d'une machine agricole plantée là, ainsi que Croix de Saint-André, dénudé total, les orfévreries du mâle ôtées, laissant un trou béant de sang et d'entrailles pendouillant qui aurait sûrement questionné l'esprit d'un Bataille en batailles. Un ou une agresseur avait laissé une photographie de son acte, planté à un des clous de l'appareil aussi rectangulaire que le lit de mort du peintre de la Renaissance, des palmes de branchages en guise de baldaquin peint en rouge-sang. Quelqu'un, en mal de reconnaissance, avait dû se prendre pour l' Ingres de la région.

Il avait photographié la scène du crime. L'agonisant, en bandaison. L'écoulis spermique bien répandu sur la plage du nombril et ventre, jusque avant que la main meurtrière ne décidât d'en retirer les sœurs Brontë, la dague phallique et un peu de bas-astral pubien. Des petits bouddhas. Curieusement installés à ses pieds sanglés aux chevilles d'un collier de chien à chaque. Trois : l'un se bouchant les oreilles, l'autre les commissures quant au troisième, aveuglé d'un bandeau ainsi que la Justice doit suspendre, bien égal, deux plateaux : coupable, présumé-innocent. Disposés face au corps supplicié, ces trois petites statuettes peintes, taguées d'un : - Merci de tout cœur !

*

Autour de ça. Plaine déserte. Champs labourés. La forêt de Lanoué, au bramant des cerfs, dès Mars. Des billets de cinq, dix et cent euros, éparpillés, retenus par les buissons d'orties. On eût pensé à un dispatching rituel (des Portes Celtiques au lunaire d'Halloween), voire à un dépouillement sans intérêt, l'auteur(e) du crime n'en voulant pas à son argent, mais bien visiblement à son sexe-primable. L'inexplicable de l'inexprimable, bien exprimé dans cet épinglement de corps-matière dénudé sur les pointes de la machine agricole dressée ainsi qu'une paroi Bauhaus à même le sol accidenté, au sortir d'un chemin que ne pouvait connaître qu'un couple d'habitués. On dit : couple. Car des mégots de cigarette, plusieurs, et de marque différente, étaient demeurés, là, au pied du pauvre équeuté, castré, éventré. Il n'y avait qu'à s'intéresser à ces détails pour s'octroyer le luxe d'être un petit diable soi-même, signant ça, à selfier, pour preuve et pièces à convictions, jouant ainsi les détectives privés.

Car un passant était venu là. Un curieux. Et, c'est vous. Lecteur découvrant l'acte abominable. J'en suis désolé.

C'est vous qui vouliez absolument voir, ça-voir, percer-voir, admirer La caméra-esprit en poche de vos corps-texte : cortex, cervelet, matière grise. Précise mémoire. Ah oui, ça me rappelle vaguement quelque chose, un film, ou une séquence vécue lors d'un mariage... La salle était comble. Les mariés à la fête, et au chant. Puis. A voir penaud et triste, le neveu de quinze ans mal placés parmi les enfants (il n'y avait plus d'espace libre aux placements des assiettes et verres adultes, lors du plan exécuté par la mère qui balança à la figure dudit qui tenait à être placé auprès d'une telle dont il matait, espérait voir et toucher les seins-nichons lents et bombés sous une robe qu'il devinait déjà d'une transparence vulgaire et provocatrice, qui balança un : toi, t'ira avec les petits, tu les surveilleras, ne discute pas, c'est comme ça, c'est encore moi qui décide, non, je suis chez moi, c'est ma maison, et t'as rien à dire...)

Vol au vent, qui la baise éolienne, la pluie.

*

Alors. A le voir de sa place éloignée si blafard, blême, pleurnichard. Tête basse. La mariée se leva. Fila droit sur lui. L'emmena par la main. Dehors. Comme ça. Alors que ça valsait, tangotait, jerkait et slowlait à changer constamment de cavalier-cavalière dans l'espace réservé à la danse, en fin du « T » des tréteaux ajustés les uns aux autres, ça chantonnait des airs grivois, qui excitaient plus d'un fantasmeur, elle se plaqua au mur, près des escaliers, souleva sa robe de mariée pile à niveau du triangle mouillé de la petite culotte, face à ce blêmissant, lui lança, après un fougueux et vif baiser (toute la langue) : baise-moi, déchire-moi la culotte, vas-y, fais, prends ton pied, et ne va surtout pas le répéter à ta mère, ou je te gifle, baise-moi crétin !...

La gémellité orchestrée à la hâte, même au vu d'un groupe de mômes, filles et garçons jouant qui aux billes, qui à cache-cache, qui à chat-perché (Chlam et Gobie), qui à la ba-balle, la mariée rabaissa sa longue traîne (de traînée, elle était connue pour une marie-couche-toi-là) et lui, rentra son pinceau dégoulinant, tout tremblotant de la peur du puceau (d'avoir mal fait ? d'avoir péché – le sentiment de culpabilité bloqua toute envie naturelle et pulsionnelle de l'être soudainement devenu animal... ? d'avoir été surpris, peut-être par une fratrie jalouse (j'la baiserai bien aussi, moi...) ?...), le mini-slip jaunâtre à motif Cézannien ( Une Moderne Olym­pia (1873-74) ) - dans le pantalon débraguetté, qu'il rezippa autant que faire possible...

*

Mais où t'était encore passé, toi ? lui envoya la madré, venu le chercher, cause du pleur d'un quarteron de délaissés en bas-âge, tu devais ne pas les quitter des yeux, on t'avait pourtant bien dit ça, non ?

La gifle dans la nuque le fit remettre à sa place...

La mariée alla tomber dans la bassesse des mœurs humaines, la souillure de l'âme humaine. Tout spirituel commence par le crade.

Il ne retrouva que très longtemps après ses esprits, tel un site inacessible qui occasionnerait ce message : maintenance serveur défectueux : retour prévu pour 10H30 (après avoir mentionné : 8h15...puis 9h30)

 

Les familles, défaites ainsi boules de laine (La nuit, tous les chats sont... Yin-yang / Bonnie-Salem miaulaient dans leur invisibilité...), elles-mêmes miaulant leurs adieux-à-bientôt-à plus...oui, on se revoit, les portières qui claquent, les moteurs qui, à leur tour, ronronnent, et toussotent, et démarrent au quart de tour pour les plus huilés, bref, tout ce foutu monde se sépare.

A l'arrière de la XM ramenant la famille X, lui, ce dépucelé, à se laisser bercer du paysage qui défilait sous une lune bien ronde, engrossée de lumière, et, songeant à sa cousine qui avait (déshonoré) dérangé sa mystique du catéchisme, il lâcha un : - et encore une ! Un meurtrier est en chaque esprit de femme ou d'homme...


*

Point trop certain qu'au retour, il goûte à plus de joie d'avoir goûté et vu tout ça, de près, ainsi qu'une liberté de libidineux de premier âge, une souffrance rentrée rongeait sournoisement sa psyché enfantine (ou infantine), au percuté du repoussant (oral, anal, phallique et substituts), à lire son refoulé dans les cavités de la façade de ses rêves suivants, diurnes et éveillés ; contraint d'uniquement couché avec... son ours en peluche au flanc de son frère aîné dans le même lit double, par mesure de sécurité financière et d'économie persistait à lui répondre sa mère à chaque fois qu'il lui soumettait l'achat d'un petit lit-à-lui, pour lui, et dormir seul.

 

Elle l'envoya paître d'un faux étonnement :

- ah tiens, et pourquoi subitement tu veux dormir seul, ton frère te réchauffe, au moins, non ?

Ca l'était. Oui. Sauf qu'aux gestes osés, l'oracle des dieux valait pour le syndrome des Littératures précédent un long travail des rêves analytique, aussi épuisant qu'éprouvant.

 

Partager cet article
Repost0
Published by Bertrand DELPORTE - dans po-éthique écritures journalières Oniromancie

Présentation

  • : Le blog de Saint-Songe
  • : Journal Poético-Littéraire Spirituel
  • Contact

Recherche

Pages