19 février 2010
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"Soudainement la lumière est douce"...
Ainsi que pour apprendre une langue étrangère, il nous faut un dictionnaire, il y a tout lieu de croire que pour la douceur des relations humaines, pour comprendre les femmes, il faut à l'homme un dictionnaire de traduction des perceptions : homme-femme ; la femme est sur le qui-vive d'une séduction, quand l'homme est un "descendant" de cro-magnon, l'esprit chasseur, si bien qu'il oublie la séduction, ce qu'attend toujours une femme, même après l'union définitive : elle attend les petits gestes attentifs quand l'homme, une fois qu'il a séduit, croit que tout est acquis : erreur fondamentale , il convient toujours de séduire une femme, malgré le triumvirat :
- seducare, educare, secare.
On séduit, pour s'apprendre (s'éduquer), coupant tout ensuite, si rien ne convient plus dans les humeurs ou dans les sentiments. Quand l'homme a capté "sa proie", il l'oublie, pensant qu'elle lui est acquise : erreur basique.
LA Femme attend toujours d'être séduite, jour à jour, même longtemps après la fusion d'un couple, la construction d'un couple, l'amour doit constamment surprendre pour être bien compris, le mieux possible, changeant en permanence tout en restant le même ; l'homme ne semble chercher qu'une fois, oubliant après de séduire sa conquête ; erreur fractale. Ce n'est pas forcément un poème, des fleurs, qu'une femme attend, c'est une précieuse "attention"... Tout en douceur, rien par force...
L'homme doit intimement se donner à la femme, plus que de penser à sexuellement "la prendre".
Il doit l'apprendre, telle une langue étrangère, cherchant à mieux la com-prendre (prendre avec soi), tel son reflet
be-yin (dessin ci-dessus). L'homme est déjà mentalement enceint de la femme qu'il attend (qui l'attend).
Tout en sagesse, ne forçant rien.