Tous les soirs, le même coucher de soleil, et, nous ne le voyons pas, pas plus au même Levant, nous ne savons perce-voir
les rayons habituels, à n'y voir que du feu, à moins qu'encore une "Impression" ignée ; le paysage naturel nous interroge beaucoup mieux que ce que nous pouvons en croire...tous les matins, tous les soirs, et, pendant le jour, les petits nuages blancs qui en deviennent couche grise, rectangulaire dans les rondeurs, au "Cri" des espaces meuglant de vent, beuglant d'écume, vague contre vague, sur les récifs et sur les rives, ils éclairent autant qu'à Baudelaire un autre mode de pensée sur nos passages terrestres, au demeurant, lesquels, au mieux, forment la fission de la finition de l'être "pensant", roseau que nous sommes, Pascaliennement faisant. On ouvre les quinquets de l'âme et les quinteux échos de l'esprit qui font :
- Oh, les merveilleux nuages....Ils dessinent des formes animales et humaines au fond de ma nuit "obscure", nuit profonde, mystique science silencieuse.... Oh... (ce sont les bouches de l'étonnement, que je viens de dessiner, je n'avais pas dormi)....
TURNER / SOLEIL COUCHANT SUR UN LAC