VOYEZ LE COEUR dessiné
C'est la TERRE au sein de l' UN-ivers des ombres planétaires plaquées sur le bleu céleste !...
Oh que nous sommes petits....! Mais Le Christ est en nous, tout en Dedans ; Christ'In, Just Christ'in, le Christ Dedans, et, dedans nous, ces lumineux éléments là du ciel, ces courses étoilées, ces douceurs lumineuses, ces pluies de silence et de haute joie, ces couleurs-là, qui ne se voient qu'avec les yeux de l'Amour, Just, Christ' In... Les temps sont à la fin, à la fin, tout est à la fin de tout, il nous faudrait du Litz, un "rêve d'amour"... La Fin vient, la fin... Qui nous devient l'Etoile Secrète ?..
Eh !... Le Poète !.. Il se marie avec sa visiteuse, la mort, se marie en troisièmes noces, le couple s'installe dans l'espace, juste au-dessus de la mer et un chouia à l'écart des îles, que l'architecte et mécène L' Enseigneur a mis à leur disposition depuis le Commencement du Monde !... Eh, l' Univers commence à oeuvrer au Grand Jeu de l' Humanité...
Nous sommes en quelle année déjà du bonheur ?
Voyez, c'est loin de nous, mon Coeur dessiné, qui s'est marié avec la Terre !
Oh que nous sommes "ses" petits si petits, amis, nous sommes cooptés comme Ambassadeurs de la Paix Universelle, alors quoi, pourquoi faisons-nous les fous guerriers, assauts des politiquards aidant ?
Alors quoi, elle n'est pas belle LA VIE ?
- Si !...
- Ben alors ?...
- C'est que, contrairement à la musique qui saigne de Chopin, et, reflétant les sentiments des gens qui vivaient à cette (son) époque, Beethoven avec la sienne voulait ab-so-lu-ment changer le Monde, la face entière du Monde se mire dans l'univers précise et gravissime de ses notes, gammes et contrapuntiques...Voyez, je vous l'ai dessiné, son coeur forme un...Piano !... La Fin vient, la toute fin...pour chacun, la fin !
- Alors, ô temps "suspends ton vol" et ta ....pensée romantique, nostalgique, quelque peu tragique qui tictaque ?
- Oui da, voilà ! Je clame avec Milosz : "Laissez aux poètes un instant de joie, / ou votre monde est perdu"... Il nous faudrait du Litz, un "rêve d'amour"... Le Temps papillonne...