Sons d'en haut

Rue du graveur de timbres et peintre Cheffer, rire aux croassements vifs dessus le cimetière.
La voile est levée.
A la belle journée, bleuité du site, aux premiers flots.
Petite victoire :
- Le lierre mural se lie d'amitié avec le réverbère,  face à la petite chapelle de Tréboulchose.
Un teckel halète devant  une femme qui salue l'oiseau en quête de limaçons.
Pollen dans les airs.
Sur la terrasse de la Thalasso, les premiers curistes matinaux, ils observent le départ pour la
pêche hauturière des premiers chaluts qui font grossir les vagues en houle rondelette.
Le ciel est Magrittien, vous savez : ces gros cumulus blancs punaisés sur un bleu céleste !
Il se peut que je lise, au Pays de Perros, le " Laboratoire"  de Max Jacob !
Centrale "grâce abandonnée" d'une journée ensoleillée, via Quimper,  discret alliage d'accent
et de  "charme coulant"  d'un vécu d'écritures où je me situe  Littérairement 
- par le mysticisme du second dans les notules collées du premier,
entre ces deux auteurs dont je vous ai choisi les portraits ci-dessous :



"Voir plus clair dans le noir" Georges Perros - Nrf - P.C




















"Voici le précipice où mon arbre a grandi"
Max Jacob (Poème, in Laboratoire Central)
NRF -