Le blog de Saint-Songe

<br /> Un jour, j'ai donné très librement, en confiance, les "clés" de mes Jardins Secrets à une femme, elle a tout piétiné, en riant de ce que je ne possédais plus rien, si bien qu'elle me<br /> demanda en divorce quand je l'avais demandé en mariage, qu'elle me mena au Tribunal de Lille, quand je l'avais amené auprès de Dieu, en une chapelle, pour l'union, alors, depuis, je<br /> ne donne plus aucune clé, fût-il au meilleur ami, excusez-moi, lecteurs et fans, si vous passez par ces dédales d'écritures miens, je garde la clé "bleue" du coffret céruléen de mon Laboratoire<br /> Central, vivant seul ( sans femmes, là, pour répondre aux interrogations de Nadège, vraiment seul), incognito au bout du monde, sans partager que les "rituels" <br /> Bonjour-Bonsoir-et-comment-allez-vous- bien- ce jour ? Peut-être suis-je un "cas" difficile, qui donnerait à lire ce que tu nommes "coriaces" (j'entends Tintin claironner : "hum, coriace, ce poulet<br /> !") J'ai tant dit aux journalistes d'alors et aux préfaciers-postfacier amis que je suis désormais sur la réserve (non défensive, mais monastique), avançant "masqué" par le Loup de l'écrivain qu'il<br /> me convient d'être, l'ambivalence est pour chacun d'entre nous ;<br /> n 'empêche, tu ne te trompes pas, la prose est plus ciselée encore que mes poèmes des trois recueils, c'est une symphonie prosaïque quand la poésie demande à n'être que plus légère, un lied,<br /> un menuet, un quadrille, sans doute, "noblesse oblige", je cisèle avec la prose, je creuse dans le bois taillé d'une idée de départ, c'est tout ce que je puis avancer, après c'est à la grâce de<br /> l'inspir, ni plus ni moins. N'en sois frustré, j'apprécie déjà que "structure, syntaxe et sonorité" soient tes chevaux de bataille, car ils sont miens aussi, dans une certaine mesure...<br /> Si BD fut moi, fais-moi savoir pourquoi avoir cru devoir "appeler l'armée" pour me rechercher, quand je disais être parti sur Rennes voir l'expo de François Matton (avez-vous lu ces textes ramenés<br /> de cette bonne cité à la Parcheminerie, un consacré à F.M ?) aussi, au fait, pourquoi ne suis-je prévenu de tes commentaires par mail, tu ne te serais pas inscrit à ma Newletters, j'en serai<br /> informé aussitôt, quand je dois venir jusqu'à cette "Administration" pour connaître si oui ou non on a répondu à un de mes écrits ; une décision tranchée, ou un oubli ? Voilà, en espérant avoir su<br /> un peu éclairer ta "lanterne", reçois mes amitiés davantage, Bertrand, et re-bonne lecture-visite-commentaires, le labyrinthe est vaste encore............<br /> <br /> <br />

<br /> Bonne nuit, à toi, cher Michaël (tu n'as pas alarmé l'armée Lilloise, n'est-il pas, à moins que ce "BD" perdu ne fut moi), oui, j'ai cru ce jour que j'avais un problème d'ordinateur, j'ai eu la<br /> même désagréable surprise de n'écouter que quelques secondes mon "thème" favori du film que j'adore, en plus, j'avais placé deux autres vidéos qui ne fonctionnèrent plus une fois "publiées",<br /> j'ai dû les annuler ! La liberté d'expression n'est pas totale ! W K W me ravit assez, le 2046 est surprenant, aussi, vu au Coq Hardi de Lille, un hôtel choisi quand je vins voir mon fils, il y a 2<br /> ans. Déjà, Youtube a supprimé la musique de la vidéo Douarnenez 2008, que l'on pouvait pourtant écouter les toutes premières fois des visites (d'ailleurs, merci pour tes "promenades", pas trop<br /> pénibles, j'ose croire), alors j'en ai placé une autre, si tu y allais de nouveau, seulement elle est plus courte que le temps filmé...Bien à toi, Bertrand<br /> - qui constate que Nadège a la dextérité du Nu (Une élève de...Courbet ou de...Ingres ?)<br /> <br /> <br />