DEPASSER LE MONDE DU SON

Ah ça oui, ça a tout l'air d'unéternel retour (Nietzschéen), re-commencer tout à l'identique dans l'éternité bricolée sur terre, en quelque sorte..pour faire changer les sonorités et les aiguilles de la pendule qui dit...heure du retour perfectionniste - On explore de façon permanente un "monde" qu'on n'a pas fini de découvrir... aller-venir ici-bas là-haut; du monde d'après au nôtre, normé quand le message est porté sur l'apprentissage (l'apprenti ... sage, mis en valeur orientée vers le Bien-être contemporain) de la Virtuosité.

Nul ne connaît les profondeurs de notre esprit que les ombres elles-mêmes... - Let's shade the libidinous erectile fusion

Au Tub wawa claironner réponse : -  yes above all erectile fusion. AND yes above all... !

Les frissons aussi secouaient la grande mystique guérisseuse ayant conçu son herbier médicinal du XIIème, à dénicher de la ciguë dans la Nature (songea-t-elle au Philosophe qui la but ?) : Hildegarde de Bingen. Nul n'y échappe. Ah, que nous nous embûmes sous pluie et brume, à s'en ternir d'âge... !

Si le printemps de 1879 était exceptionnellement doux et, dans les terres basses, les blés - précoces, lors nos continuelles giboulées, crues-décrues lentes ou rapides, accusent un Printemps des plus douteux, et, les blés verts des pâtures, immatures... car pensent le floral et le végétal... tout autant qu'un gogol ou quiconque l'esprit vif. L'Homme nu descendant ainsi l'escalier des âges, à la Duchamp, décomposé ou délité sous l'effet/l'action des matins de tous les jours. Soit les épreuves et les échecs vous écrasent, soit ils vous changent. De saison en saison d'alternances. Cosmogonie de nos instants (à changement d'heure, qui nous déstabilise autant que les animaux)...

Magnanime ?

Le psychanalyste doit faire travailler son patient.

La charité, c'est la complaisance, l'indulgence, le repos

et... parfois, non en présentiel.. Or, chaque patient-e va consulter croyant que "son" psy connaît la réponse à tous ses mots, or, c'est totalement faux : le psy, il ne sait rien du tout, c'est donc le patient qui, par lapsus mot d'esprit trou noir (absence) oubli ou /et fantasme révélé, s'auto-guérit, les yeux du psy en mode "miroir" à son désordre de l'âme : jalousie, orgueil (qui est un ange se métamorphosant en démon), peur, désir, agressivité, transfert (il faut laisser le trans.... faire !), jeunesse revendiquée avec un engagement profond qui "enflamme" ses affections maladives (projet-phare en quelque sorte), à venir les déballer à brûle-pourpoint, l'idée fixe, la répétition, pensées à la suite sans suite dans les idées aussi, en guise du poids de sa vie à déposer en le cabinet dudit choisi... Car un psy n'appelle jamais à venir, c'est toujours le patient qui, un beau matin d'une détermination, sonne : drolin-drolin dring... : merci, 70 euros (la séance)...à jeudi prochain. .... même heure (car oui, ne pas décaler les rituels d'artefacts, ainsi qu'une prise médicamenteuse), afin que celle-ci agisse mieux dans le déroulé des séances à 2 voire 3 R.V la semaine..

PS ² / et, si - comme par hasard - la patientèle répond : ah c'est trop cher...Le psy rétorque : vous trouverez bien comment faire... pour "vous" payer chaque séance (sinon, pourquoi être venu ?).

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