UN CONTE SANS FIN...

Ho,... Petite peur bleue ?

J'ai ramassé une tête dans la rue, elle est à qui ?...

Il nous faudrait des pneus-pluie, là, pluie et vent froid, crachin même continu depuis ce matin, alors qu'hier, extra solaire ; tout lieu de distraction et de consommation-sur-place, clos, ça ajoute à la désolation, tant et si bien, en vertu même du mot , qu' "essentiel", n'a plus son impact réel et immédiat sur les esprits endormis ; hier, sous un ciel clinquant bleu-roi quelque visiteur cherchait la venelle du Pain cuit ; voilà la Venelle du Poivre, c'est par là, lui désignant le centre, quand nous fûmes à l'opposé ; "a movable feast", il nous faudrait, une fête-qui-bouge ! Un joggeur lance à l'automobiliste qui lui coupe la chique : hé c'est qu'il m'écraserait, ce con ! Une heure après ce petit incident, l'endormissement stagne à l'Un-fini. Toujours la pluie. CInglante. ...Elle nous alarmerait d'une invite à quelque fuite démonstrative d'audace : - c'est le tien ?.. / Oh, réveillé ?... / Non, je me suis absenté...à en perdre la tète, tout est vide, flouté, frileux-spacieux..., paresseux, depuis la Génération tout-écran ! ....Euh, alors donc, quoi, elle est à qui, la tête que je viens de ramasser au sortir de la laverie (automatique)... ? Elle .... appartenait à qui ?

Salomé avec la tête de Saint Jean Baptiste, par Lucas Cranach l’Ancien.

Huile sur bois, vers 1527-1530. Dimension : 88,4x58,3 cm. Szepmuveszeti Muzeum, Budapes

Jean le Baptiste ou Jean Baptiste, de son nom de naissance Yohanan (hébreu), est un personnage majeur du christianisme, prophète du Nouveau Testament et de l'islam.

Sur le plan historique, son existence est attestée par un passage de Flavius Josèphe. Il est un prédicateur juif du temps de Jésus de Nazareth.

Lucas Maler, dit Lucas Cranach l’Ancien, 1472–1553, est un peintre et graveur de la Renaissance allemande.

E.Psichari dit : "Le silence est un peu de ciel qui descend vers l'homme"...

ainsi, pour notre modernisme "Schopenhauerien " tel que nous le devinons, vous pouvez placer en vis-à-vis également Cioran, ou le pur et l'impur de Jankélévitch & Colette, vous verrez alors mieux qu'on en revient toujours à dire qu'en fait la Vie n'est belle qu'en regard d'en accepter ses côtés sombres, avec lesquels s'adapter tout en mesure, d'autant que " La mesure de l'Amour est d'aimer sans mesure "