AU DYANALINGA DHARSAN'S SONG

TEMPLE DE PAIX...Sitôt nommé.

REVERBERATION DE LA SANTE

Bel orifice béni

Le poème germe dans la blessure démise

Si l'endroit dénaturalise

tout statuaire habillé de pierre nue

Lisse de marbre rose ou de chagrin-Rodin

La surdité de l'absolument seul

de l'absolue nécessité du bassin projetant

toute l'idée de son désir-plaisir au ciel

Le laconique de la Nature charnelle

doublé de cette surdité profonde de pluie

rend gay-ment l'allant

à l'aspic de ces formes qui se brisent

d'elles-mêmes

à béer d'enthousiasme

tel le gazon s'étendant sur les côtés du cloître

rasé de près par une main habile au pré si joli

de quartz rose qui mouille à la rosée

et d'or

de lune matutinale encore

parmi les étoiles qui sont dans les yeux orgasmiques

où s'amusent à geindre des ricochets linguistiques

Tel Courbet grave alloue les charmes de Matisse

sous la Règle de Yarad (en commun) :

Magnétisme du Livre qui se réclame d'Adam

du premier nombril lisse et comme absent

Littérature flottante au ruisseau des mouvances

Fluidité de cyprine en cascade du don

Le canyon fait canon à battre en mesure de se former

conque au canon du Judaïsme via le Livre de Tobie

qui livre son secret en Hébreu du langage de la chair

de l'estuaire où meuvent les reflux de saveur poissonnière

à l'inépuisable puits d'amour qui gicle la manne

dans une volupté stellaire offerte au ciel du Matin

dont j'ai croqué croquis à peine levé du charme rose-thé

Culte céleste à l'arête des Anges à l'axe abrégé

David Orphée charmant en amusait les arbres

Lumière/Ténèbres au cœur des nuits

(son cas sera comme celui qui sera chassé

de la grotte primale Jour et Nuit

Deux Messies

Tels un près d'Aaron

Un autre proche Isaïe

pour naissance du même Fils issu de l'écume d'EVE

Au bel orifice béni - )

Œil du Matin

qui fore l'intérieur du Monde

Croquis croqué en à peine quelques secondes