QUI VEILLE SUR QUI ?

Qui veille sur qui ?

Pézénas (34)

proche Béziers

Phalaris d'Epicure en joueur de rugby

(fus demi-trois quart aile)...

Quel plaisir de souffrir si douleur fait bonheur de l'essai

Bien conservé jolie forme...

S'épanouir en toute joie... Et, naturisme en bienséance.

Phalar-ys jusqu'au-delà de toute souffrance.

Tout sage en un taureau brûlant.

Chose douce, à n'y rien sentir, dès lors qu'un taon incohérent

vous pique à l'insulte.

Ah tiens ?...

Sur un lit de destin où coucher notre vie ? Héroïque existence ?

Artefact de nos faits inventés, inventifs ou réel ignoré ?

Prendre forme en tyran d'Agrigente sans entregent

ou homme à l'intérieur d'un ventre vide d'airain ?

Dessus les flammes de la vie qui rugit dans l'humain ?

Qui mangea les nourrissons à peine nés de notre Golem ?

Lequel écho nous hait quand l'autre dit : - Je t'aime...

A puissance cosmique, chtonien allant du diabolique animal,

l'Homme ouranien (taureau céleste, figuré ailée du démon et d'un ange (démon féminin chu en son corps mâle ?)...

Phalaris, Phalaris épicurien !.. Chercherais-tu douleur unique en une torture de douce agonie, tout passe ici, tout fuit... Rien ne dure.

Torture ?

"Tu as beau faire, douleur, je ne dirai pas que tu es un mal"/mâle.

Le sage est enfermé dans le Taureau de Phalaris en Ys ?...

Cicéron douarneniste en quimper city ?

Quid alors même qu'il y eut deux écoles en Grèce antique, quid, ici en Bretonnitude attitude, au point de rencontre de l'idée d'Epicure et de la représentation Cicéronnienne ?

Qu'est-ce qu'un poète ?

On dit : ce mal-heureux n'est rien dans un monde d'argent qui nie l'art et les gens, rien, sinon quelqu'un qui se cache au tréfonds de souffrances ancestrales, banal sujet, en somme, mais ses lèvres sont ainsi sculptées qu'il transforme un baiser de paix en une colombe de plaisir, et le soupir hurlant qui jaillit en musique du corps, donneur d'orgasmes à défaut d'être donneur d'organes, quid de cet homme-ci ?...Phalar'Ys à ses heures ? Il partage le sort de tout un chacun torturé à demeure à petit feu d'un mal-vivre, parce que leurs cris n'arrivaient pas à être entendus du tyran, et les gens d'aller jusqu'à ce type qu'on disait poète vice-ange sur terre musicale : - Ah oui, ouiiiiiii,chante, chante en-corps, nous n'en avons plus d'aussi brûlant que tiens !.. Nous t'écoutons, poète ! Au tourment de ton âme nos flammes crissent à ton charme musical !.."

Le maire-préfet à deux pas de la demeure qui servit de Kommandantûr, jadis, en contre-bas du jardin de la Retraite :

"Très bien", critiqua-t-il, "Très bien, ainsi ordonne l'esthétique", mais laisse-tes-tics, poète, je ne reviendrai pas sur ma décision de supprimer 25 000 euros au prochain Festival de Cornouailles dont tous les concerts du soir et spectacles de poésies seront différés à Penvillers, ils marcheront les touristes, tant pis pour eux, l'Etat me demande de faire de l'économie sur les Arts (débiles ?), c'est ainsi, c'est douleur et souffrance, oui -souffrance et douleur, mais c'est une joie aussi...pour le porte-monnaie de la ville de Gradlon...Que me parles-tu là du Taureau de Phalar' YS ? Va plutôt taguer ton Picasso sur le mur, je laisse l'art street gratos, tiens-toi ça pour du bonheur artistique ! Plus de concerts en centre-ville l'été prochain sur quimper, fini, basta, allez, sors de mon bureau "ovale"...ventre-creux de la Res Publica donnant sur le manège pour enfants,...basta, et bonne continuation pour être "compris des porcs plus que poète incompris des hommes"...