Ne travaille pas - Wabi sabi (en exil du "beau lac natal")

GAUGUIN - Ne travaille pas "Eiaha ohipa"

A la délivrance de l'art, ai répondu à Gauguin Ne travaille pas "Eiaha ohipa" , mettant de la distance aux choses d'une vie superflue(s)..., répondant aux livres : approchez, touchez, ouvrez-nous, admirez, sentez, découvrez, refermez, et prenez avec nous bonne et juste distance, dîtes façon Prévert "je préfère tes lèvres à mes livres", sans spécifier de quelles lèvres, il s'agit, et, dénichez de la beauté en toute laideur, et si le lugubre chant d'un corbeau vous effraie, affirmez qu'il n'en est pas plus dérangeant qu'une sirène d'ambulance, souvenez-vous d'avoir vécu dans le Wabi sabi douarneniste, appartement de neuf mètres carrés pas plus spacieux qu'un salon de thé zen... Rien qu'une baraque de pêcheur sur l'onde, pas un foulcre macroule, ni plus mouette tridactyle, ni plus Fulmar boréal revenu des eaux du Nord Atlantique, Pétrel échappé de sa famille - celle des Procellariidés ; planant joyeux, gaiment flottant sur l'eau, me reposant, ne "travaillant plus" à pécher le poisson...(Fulmarus glacialis) - suis-je devenu....

Indolemment, sortir du cadre...de la vie matérielle...Oh Vie trépidante, " eh quoi ? "tu es jalouse" ?

Paul Gauguin- Eh quoi, es-tu jalouse? (1892)